Le concours : "mon entrepreneur de rêve academy" destiné aux jeunes étudiants a été lancé, hier à Grand-Bassam. Dix équipes vont concourir jusqu'au 30 septembre, date de la finale.

Le concours : "mon entrepreneur de rêve academy"

Le concours : "mon entrepreneur de rêve academy" destiné aux jeunes étudiants a été lancé, hier à Grand-Bassam. Dix équipes vont concourir jusqu'au 30 septembre, date de la finale. Selon, M Bolo Jonas, président du « Mouvement conscience positive", initiateur, ces équipes bénéficieront de différentes formations en business plan, en employabilité, en journalisme mobile, en art oratoire pour présenter un projet d'entreprise innovant, original, fiable et viable devant un jury d'experts dirigé par M Marc Avenier, DG d'Alligator Afrique.

Goli Pascal, Conseiller régional, représentant le président Aka Aouélé, haut parrain, a remercié les initiateurs d'avoir choisi son mandant, « comme source d'inspiration des jeunes ». Il a passé son important message aux jeunes. « Je vous exhorte donc à continuer et à continuer encore dans ce genre d'initiatives, car l'expérience a montré qu'au niveau du succès, des primo entrepreneurs, l'on enregistre 30 à 50 % sur 3 ans et 10 à 30% sur 5 ans ».

Répondant aux questions sur ce qu'a apporté par le président Aka Aouélé à la problématique de l'insertion socioprofessionnelle des jeunes, Goli Pascal a rappelé que le premier acte, c'est l'éducation. Le président Aka Aouélé ayant doté tous les villages de collèges de proximité pour la formation des jeunes. Il a fait la promotion des grandes écoles de formation technique et l'INFAS dont Aboisso abrite une antenne. Il octroie des bourses d'études. En mars dernier, le président Aka Aouélé était à la Silicone-Valley pour mobiliser des investisseurs qui sont effectivement arrivés en Côte d'Ivoire au mois de mai 2023. Pour l'insertion des jeunes et des femmes, de nombreux projets existes, dans le cadre du CD2, du Pejedec avec à la clé des milliards pour financer les projets.

Lella Jules, directeur exécutif de l'ARDCI a indiqué que le choix du Sud-Comoé n'est pas fortuit. En ce sens que cette région a depuis de longues années une politique très efficace d'insertion des jeunes. Il a invité les futurs entrepreneurs à approcher les services dans les Conseils régionaux afin de saisir des opportunités. Il a expliqué qu'au terme du concours, il y aura des projets retenus qui auront l'appui de l'ARDCI et des projets  non retenus qui feront l'objet de suivi pour leur mise en œuvre. Enfin, pour lui, le président Aka Aouélé « a une grande expérience en tant qu'entrepreneur et en tant que gestionnaire de collectivité. C'est un agent de développement qui compte une dizaine de distinctions, c'est un modèle qui inspire et qui peut aider les jeunes »

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